Jeux olympiques Paris 2024 : clap de fin !
Après une cérémonie d’ouverture spectaculaire, les Jeux olympiques de Paris 2024 ont livré avec les compétitions sportives des prouesses spectaculaires, des photos exceptionnelles, des moments insolites et beaucoup d’émotions. Plus de 10500 athlètes, 1400 photographes venus du monde entier s’étaient réunis dans la capitale française pour célébrer le sport et la diversité.
Après deux semaines riches en exploits sportifs, la cérémonie de clôture a eu lieu le 11 août au Stade de France à Saint-Denis. Paris passe le relais à Los Angeles, organisatrice des Jeux en 2028. Les Etats-Unis sont le pays le plus titré avec 126 médailles, suivi de la Chine (91 médailles) et de la France, pays organisateur avec 65 médailles.
Retour sur les moments et les athlètes les plus marquants de ces Jeux olympiques d’été de Paris 2024 qui se sont clos par un magnifique feu d’artifices.
Simone Biles, The GOAT
Simone Biles a illuminé les Jeux olympiques de Paris de son talent. Elle a remporté son 6e titre de championne olympique, médaille d’or au concours général individuel de gymnastique artistique. Elle a remporté la médaille d’or lors du concours général de gymnastique, au concours général par équipe femmes et au saut de cheval femmes. Sa 4e médaille aux JO de Paris 2024 (argent au sol, la brésilienne Rebbecca Andrade ayant décroché l’or) lui permet de totaliser 11 médailles, à égalité avec la Tchécoslovaque Vera Caslavska.
Lors de ses débuts olympiques à Rio de Janeiro en 2016, elle avait également remporté des médailles en équipe au concours général, au saut de cheval et aux exercices au sol. Elle compte désormais 8 médailles olympiques dont 5 en or, surpassant la légendaire Shanon Miller. Pour la gymnaste la plus décorée au monde, il s’agit de la première médaille d’or olympique depuis Rio 2016 après qu’elle se soit retirée de plusieurs épreuves à Tokyo en 2021 pour préserver sa santé mentale.
La revanche d’Imane Khelif
Imane Khelif a remporté sa finale contre la chinoise Yang Liu (championne du monde en titre) le 09 août. Elle offre ainsi une deuxième médaille d’or à l’Algérie après la gymnaste Kaylia Nemour. L’Algérie égalise son record, décroché à Atlanta en 1996. Imane devient aussi la deuxième médaillée d’or en boxe d’Algérie après Hocine Soltani.
Après avoir essuyé des critiques, des moqueries et insultes sur les réseaux sociaux, elle a achevé triomphalement son parcours olympique dans le stade de Roland Garros avec un public acquis à sa cause. A son entrée sur le court Philippe Chatrier, elle a été accueillie par une foule en liesse. Le président algérien Abdelmadjid Tebboune l’a félicité et lui a manifesté son soutien. Accusée à tort d’être un homme, elle s’impose en finale avec une victoire éclatante. Tout au long des JO, les algériens ont fait bloc derrière elle.
La fédération internationale de boxe, l’IBA, la fédération internationale de boxe affirme qu’elle a échoué à un test hormonal visant à établir son genre et qu’elle a été exclue des JO de New Delhi car elle serait « un homme ». Face au manque de preuves, le CIO a soutenu la boxeuse et a maintenu son éligibilité pour les Jeux. Malgré les moqueries et les insultes, Imane Khelif a gardé la tête haute et a dominé tous ses adversaires. En quart de finale, elle a affronté la hongroise Anna Luca Hámori. Après sa victoire, elle a eu en demi-finale la thaïlandaise Janjael Suwannapheng le 6 août. Sa victoire par abandon en quarts de finale contre la boxeuse italienne Angela Carini après 46 secondes de combat le 1er aout avait déclenché une vaste campagne de haine et de dénigrement envers elle.
Lors d’une conférence de presse, l’ancien directeur de la commission médicale de l’IBA Ioannis Filippatos a affirmé que des tests sanguins effectués sur la boxeuse en 2022 avaient révélé des anomalies. Les résultats montrent qu’elle est un homme, affirme-t-il. Une affirmation fermement démentie par le comité olympique algérien qui a rejeté dans un communiqué « des allégations sans fondement ». Le comité international olympique a quant à lui accusé l’IBA (une instance qu’elle ne reconnait pas) d’avoir exclu arbitrairement la boxeuse. Le CIO considère que l’éligibilité de la boxeuse ne fait aucun doute. L’Irlandaise Amy Broadhurst qui avait battu Imane en 2022, lui a apporté son soutien sur la plateforme X. En 2023, elle a été privée de compétition aux championnats du monde par la fédération internationale de boxe. Elle s’était faite lyncher sur les réseaux sociaux et a été accusée à tort d’être un homme.
La jeune algérienne est bien une femme, elle est atteinte d’hyper androgénie. C’est lorsque la testostérone présente dans l’organisme d’une femme est plus élevée que la moyenne. Imane Khélif a porté plainte contre X pour harcèlement moral devant le pôle national de lutte contre la haine en ligne du tribunal correctionnel de Paris.
La victoire éclatante de Kaylia Nemour
Kaylia Nemour, âgée de 17 ans, a remporté sa première médaille d’or aux barres asymétriques pour l’Algérie le 4 août. Après avoir été écartée par la fédération française de gymnastique, elle s’est tournée vers le pays de ses grands-parents et a obtenu la nationalité sportive algérienne en mai 2023. Née en France à Saint-Benoit-La-Forêt, elle s’entraine au club d’Avoine Beaumont depuis ses 4 ans. En 2021, elle subit une double opération des genoux après une anomalie de croissance des os. Une ostéochondrite sévère, pathologie qui touche des zones de croissance des os et du cartilage. Elle se manifeste par une violente poussée de croissance.
Après sa rééducation, elle recommence l’entrainement. Mais le médecin de la Fédération française de gymnastique (FFG) lui interdit de retourner sur les tapis. Née en France d’un père d’origine algérienne et d’une mère française, elle s’est retrouvée au centre d’un conflit entre la fédération française de gymnastique et son club d’Avoine Beaumont.
La famille et les entraineurs de Kaylia Nemour sont entrés dans une bataille avec la FFG durant de longs mois qui s’est soldée par l’exclusion de Kaylia du collectif de France. La FFG voulait regrouper toutes les meilleures gymnastes dans les pôles d’entrainement de l’INSEP à Paris ou à Saint-Etienne. Mais presque toutes les athlètes d’Avoine Beaumont club dans lequel évolue Kaylia depuis son plus jeune âge ont refusé la proposition de la fédération car elles ne voulaient pas bouleverser leurs habitudes avant les JO et quitter leur club familial. Après ces refus, la FFG et le club d’Antoine Beaumont sont entrés en guerre ouverte. Le chirurgien de Kaylia l’a autorisée à reprendre la compétition en mars 2022 mais le médecin de la FFG, Pierre Billard a mis son véto pour la reprise de la jeune gymnaste afin de protéger son intégrité physique. Contrairement à la fédération internationale, la FFG n’a pas autorisé le changement de nationalité de Kaylia Nemour. Son changement de nationalité a été acté par la ministre française des sports Amélie Oueda-Castera qui s’était saisie du dossier.
Sous les couleurs de l’Algérie, elle a été championne d’Afrique du concours général individuel et médaille de bronze par équipe à Pretoria en Afrique du Sud. Aux mondiaux d’Anvers, elle a remporté en Belgique la médaille d’argent aux barres asymétriques, la première de l’histoire de l’Algérie dans cette compétition. Ainsi, elle a pu décrocher son ticket pour les Jeux olympiques de 2024.
Cheikh Tidiane Diouf bat un nouveau record
L’athlète sénégalais a estimé avoir atteint son objectif aux Jeux olympiques de Paris après avoir battu le record du Sénégal du 400 m datant de 56 ans avec un chrono de 44 secondes 94. Un record détenu jusque-là par Amadou Gakou aux Jeux olympiques de Mexico en 1968.
Eliminé en demi-finale du tour de piste au Stade de France le mardi 6 Aout, il s’est hissé à la 6e place et est également devenu le premier Sénégalais à courir sur cette distance.
La team USA invincible
Les Etats-Unis sont sacrés champions olympiques pour la 5e fois consécutive sur le score de 98_87. Les américains ont fait face à une France tenace dans un match tendu, avec un Victor Wembanyama brillant. Une équipe portée par un majestueux Stephen Curry qui a réussi 4 tirs à 3 points dans les 2 :43 finales dont celui qui a scellé la victoire à 1 :19 de la fin.
Kevin Durant, le meilleur joueur de l’histoire olympique américaine, est également devenu le 1er basketteur à remporter 4 titres olympiques. Il faisait partie des équipes américaines médaillées d’or en 2012, 2016 et 2021. Stephen Curry a ébloui en fin de match avec sa performance époustouflante au 4e quart-temps qui a propulsé l’équipe américaine sur la plus haute marche du podium.
Pour sa première finale olympique, la superstar des Golden State Warriors a poussé l’équipe américaine jusqu’à la ligne d’arrivée grâce à des tirs incroyables. La France avait réduit l’avance des Etats-Unis à 82-79 à 2 :58 du 4e quart-temps avant que Stephen Curry ne réponde avec un barrage de paniers à 3 points pendant plus de deux minutes. LeBron James est MVP de ces Jeux de Paris.
L’exploit du Grec Miltiadis Tentoglou
Miltiadis Tentoglou a décroché la médaille d’or à la longueur avec un saut à 8,48 m. C’est sa deuxième médaille d’or en saut en longueur. A 26 ans, il est le premier sauteur en longueur à conserver son titre depuis Carl Lewis, vainqueur à 4 reprises de 1984 à 1996.
Le Jamaïcain Wayne Pinnock a remporté la médaille d’argent avec un saut à 8,36 m. L’italien Mattia Furlani âgé de 19 ans a terminé 3e avec un saut à 8,34 m lors de son premier essai.
Novak Djokovic indétrônable
Le serbe a décroché la médaille d’or face à l’Espagnol Carlos Alcaraz, numéro 2 mondial et vainqueur à Roland Garros en juin dernier. Il avait battu Novak Djokovic en finale de Wimbledon. Avec sa victoire lors du tournoi simple masculin (le seul titre qui manquait à son palmarès), Novak Djokovic détient désormais le record de 24 titres en Grand Chelem.
Âgé de 37 ans, il a avoué qu’il espère être présent aux Jeux olympiques de Los Angeles en 2028. Après sa victoire, le président serbe Aleksandar Vučić a annoncé la construction d’un musée qui lui sera dédié à Belgrade.
L’Australienne Arisa Trew championne du monde à 14 ans
Arisa Trew décroche l’or en finale au skateboard park femmes. Elle devance la japonaise Cocona Hiraki, vice-championne olympique à Tokyo, médaille d’argent et la britannique Sky Brow médaille de bronze. La japonaise Hinano Kusaki a terminé 8e après trois chutes. La plus jeune athlète des Jeux olympiques de Paris, la chinoise Zheng Haohao âgée de 12 ans n’a pas passé le stade des qualifications. Sur les 22 participantes, elle a fini à la 18e place.
Le Japon domine aussi le skateboard street (aire urbaine où il faut s’appuyer sur des parcs, des bancs pour réaliser des figures). Dans le skateboard park on évolue dans une sorte de cuvette où il faut réaliser 3 run de 45 secondes et le meilleur run est retenu pour établir la note finale.
Letsile Tebogo entre dans l’histoire
Le botswanais Letsile Tebogo est entré dans l’histoire de l’athlétisme le 08 août 2024. Médaillé d’or après sa victoire sur le 200 m, il s’est imposé avec le chrono impressionnant de 19 secondes 46 se payant la tête de l’Américain Noah Lyles. Ce dernier, médaillé de bronze, est triple champion du monde en 2023 (100 m, 200 m et 4 x 100 m). A 21 ans Leslie a enregistré le 5e chrono de l’histoire.
Il devient le plus jeune champion sur cette distance depuis l’Américain Joe Delaoch aux Jeux de Séoul en 1998. Aux championnats du monde en 2023, cette jeune étoile du sprint était arrivé troisième aux 200 m. Désormais, il est détenteur du 4e rang mondial et apporte au Botsawana la première médaille d’or de son histoire.
L’épreuve des 200 mètres figure au programme des Jeux olympiques depuis les Jeux de 1900 à Paris. Les femmes y participent depuis les JO de 1948 à Londres.
Les espagnols décrochent l’or en foot
L’équipe de France s’est incliné 5 buts à 3 après la prolongation face à l’Espagne le 09 aout au parc des princes, en finale du tournoi olympique. La Roja a été portée par Alex Baena et Fermin Lopez. Comme à Barcelone en 1992, les espagnols sont en or pour la seconde fois. Les français ont ouvert le score à la 11e minute. A la 18e minute, Fermin Lopez égalisait d’une frappe du droit. Puis sur un centre mal renvoyé par la défense française, il réalise un doublé à la 25e minute, son 6e but dans la compétition. A la 28e minute, Alex Baena marqua un 3e but par un coup franc sublime dans la lucarne du gardien français Guillaume Restes.
Menés trois buts à 1 jusqu’à la 79e minute, les bleus avaient réussi à égaliser lors du temps additionnel grâce à un pénalty de Jean Philippe Mateta. Mais lors des prolongations, les espagnols ont remonté la pente en marquant deux buts et remporté le match (5-3). A la 100e minute, Sergio Camello qui a remplacé le capitane Abel Ruiz a marqué un 4e but. Il met fin aux espoirs des bleus en marquant à nouveau à la la 120e minute.
Les bleus sont repartis avec une médaille d’argent, la première depuis 40 ans pour le foot français aux JO après la génération dorée de Guy Lacombe.
Gabbrielle Thomas, championne olympique du 200 m
Troisième aux 200 m aux Jeux de Tokyo, l’américaine décroche la médaille d’or le 6 août au Stade de France avec un temps de 21 secondes 83. La médaille d’argent revient à l’Américaine Julien Alfred et le bronze à Brittany Brown.
A 27 ans, Gabby Thomas permet aux Etats-Unis de reconquérir l’or olympique du 200 m féminin pour la première depuis 2012, aux Jeux olympiques de Londres. A l’époque, c’est l’Américaine Allyson Félix qui avait gagné l’or et Carmelita Jeter le bronze.
La Chine confirme sa suprématie en tennis de table
La Chine conserve son titre sur le tournoi par équipes. L’équipe masculine de tennis de table a battu la Suède 3-O en finale. Les pongistes chinois, invincibles, tenants du titre et grands favoris de la compétition par équipe des JO sont sacrés champions. C’est leur 4e titre en 5 épreuves dans ces Jeux (simples, hommes et femmes, double mixte). Avec cette victoire, Ma Long décroche sa 6e médaille d’or. Il devient l’athlète le plus titré de son pays dans la compétition.
L’équipe chinoise est composée du numéro 1 mondial Wang Chuqin, du champion olympique Fan Zhendong et de la légende Ma Long, âgé de 35 ans. Ling Ma et Wang Chuqin ont gagné 3 :2 en sets contre Anton Kalberg et Kristian Karolsson. Zhendong Fan a gagné 3 :2 en sets contre Truls Moregard tandis que Wang Chuqin a battu Kristian Karolsson.
Des plongeurs chinois époustouflants
La Chine s’est imposée lors de l’épreuve de plongeon synchronisé sur tremplin chez les femmes, devant les Etats-Unis et la Grande-Bretagne au centre aquatique de Saint-Denis le 27 juillet. Le duo composé de Chang Yani et Chen Yiwen a devancé les américaines Sarah Bacon et Kassidy Cook et les britanniques Yasmin Harper et Scarlett Mew Jensen.
Le 29 juillet, côté hommes, à la finale du plongeon de haut vol à 10 m synchronisé, les chinois Junjie Lian et Hao Yang ont réalisé un 4e saut sublime, tutoyant la perfection.
La Chine a également obtenu une 3e médaille d’or sur le 10 m synchronisé devant la Corée du nord et le Royaume-Uni. Chen Yuxi, déjà titrée en double à Tokyo en 2021 conserve son titre en compagnie de Quan Hongchan qui avait été titrée aux Jeux de Tokyo. Les adolescentes ont réalisé une magnifique prestation.
Un brillant Léon Marchand
Le Français Léon Marchand a raflé 5 médailles dont 4 en or au 400 m nages, au 200 m papillon, au 200 m brasse et au 200 m 4 nages. Il a décroché une médaille de bronze au relais. Léon Marchand a réalisé 14 courses en 7 jours. Il a terminé sa course en un temps olympique de 1 minute 54’ ratant de peu le record mondial Ryan Lochte établi il y a 13 ans.
Il s’impose comme le prochain grand nom de la natation olympique internationale. Avec ses 4 médailles d’or individuelles en une seule édition des Jeux olympiques, il se place dans une catégorie réservée autrefois à deux Américains, les légendaires Mark Spitz et Michael Phelps.
Summer McIntosh sacrée championne à 17 ans
La canadienne Summer McIntosh a remporté l’or au 200 m quatre nages individuel féminin, sa 4e médaille des JO d’été de Paris 2024. A 17 ans, Summer est sacrée championne au 200 m papillon, au 200 m QNI et décroche l’argent au 400 m style libre. Elle a réalisé un temps de 2 :66’,56, établissant ainsi un record olympique.
Cette médaille d’or fait d’elle la première athlète canadienne à remporter 3 médailles d’or lors des mêmes Jeux. L’Américaine Kate Douglas a remporté l’argent et l’Australienne Kaylee McKeon a décroché le bronze. McIntosh égalise ainsi Penny Oleksiak pour le plus grand nombre de médailles remportées par un athlète canadien lors d’une même édition des JO d’été.
Valerie Tarazi, la voix de la Palestine
Valérie Tarazi est une nageuse américano-palestinienne, âgée de 24 ans. En 2023, aux Jeux panarabes, elle remporte 2 médailles d’or, 3 médailles d’argent et une en bronze. En 2024, elle a été sélectionnée aux côtés du boxeur palestinien Wasim Abu Sal par le comité international olympique pour porter le drapeau palestinien lors de la cérémonie d’ouverture.
Valérie a aussi représenté son pays à l’épreuve du 200 m 4 nages aux JO de Paris. Le CIO a reconnu la Palestine comme membre en 1995, permettant aux athlètes palestiniens de participer aux Jeux.
Kim Ye Ji, la tireuse « cool » des JO de Paris
Médaillée d’argent au tir au pistolet à 10 m aux JO de Paris, la Sud-Coréenne de 31 ans a fait sensation aux Jeux olympiques. Avec son attitude détachée, elle a captivé et enflammé Internet.
Sur les réseaux sociaux, Kim a été comparée à des personnages du grand écran. Certains internautes la considèrent même comme une héroïne. Sa compatriote Oh Ye Jin a décroché la médaille d’or. Kim Ye Ji a établi un nouveau record pour l’épreuve du 25 m dames.
Des photos iconiques
Alors qu’il surfe sa vague tahitienne, le Brésilien Gabriel Médina, surnommé le magicien, s’envole. Un moment immortalisé par le photographe de l’AFP Jérôme Brouillet. Une photo emblématique, qui a suscité une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux.
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